Quand on quitte La Réunion, on emporte des valises… et une faim d’authenticité. Aylan, 28 ans, originaire de Saint‑Pierre, fait ses études à Besançon. Il cherche des produits « péi » comme à la maison : bouchons, pâte à piment, vanille, bières Dodo, et bien sûr des samoussas réunionnais pour les soirs de nostalgie. Sa solution ? Pousser la porte de LE REUNIONNAIS, une épicerie réunionnaise de centre‑ville qui a fait de la culture créole sa promesse quotidienne. Ici, il retrouve des arrivages « péi » (rhums, punchs, surgelés, épicerie salée) et des conseils concrets qui font la différence.

Sommaire
- Pourquoi choisir une épicerie réunionnaise (et pas un rayon “exotique” au hasard)
- Cas pratique : l’itinéraire de Aylan, du manque du « péi » à la table du soir
- Que trouve-t-on sur place ? (exemples concrets pour un panier « péi »)
- Le rôle des samoussas réunionnais : petits triangles, grands souvenirs
- Y aller simplement : adresse, horaires et astuces « centre‑ville »
- Conseils rapides : bien acheter, bien conserver, bien partager
- Conclusion : garder La Réunion près de soi, à deux pas de la rue Pasteur
Pourquoi choisir une épicerie réunionnaise (et pas un rayon “exotique” au hasard) ?
Un étudiant expatrié, un jeune actif, une famille : tous ont le même besoin quand le mal du pays grignote — du vrai, pas du « à peu près ». Une épicerie réunionnaise spécialisée garantit deux choses : la cohérence de l’offre (on trouve sur la même étagère ce qui se cuisine ensemble) et le conseil qui évite les mauvais choix. Chez LE REUNIONNAIS, l’univers créole est assumé : du rhum arrangé aux samoussas réunionnais en passant par les bouchons, épices et punchs, l’équipe sélectionne et oriente pour que chacun reconstitue « la cuisine d’où il vient » — ou la découvre simplement.
Découvrez l’itinéraire de Aylan, du manque du « péi » à la table du soir
Le point de départ. Un samedi de rentrée. Aylan a passé la semaine à courir entre la fac et son job. Le soir venu, il veut « un bout de chez lui ». Plutôt que de scroller des heures en ligne, il file en centre‑ville et s’arrête au n° 22 de la rue Pasteur. Devanture sobre, accents créoles, étagères d’épicerie, rayon surgelés (bouchons), et une sélection de rhums et punchs. Il est au bon endroit.
Le besoin. Refaire un apéro « comme à la maison » avec des amis : quelques samoussas réunionnais, des bouchons vapeur, une bière Dodo pour le fun, et un petit arrangé pour faire honneur à l’île. Il explique ce qu’il aimait : « piment, gingembre, mangue » ; l’équipe lui propose un panier cohérent : samoussas au fromage et au boucané ti‑jacques, bouchons porc/combava, une Dodo, un rhum arrangé « momon ». Les conseils sont directs : temps de cuisson, accords rapides, et niveau de piment selon le groupe.
Le résultat. Le soir, tout le monde se retrouve chez lui : samoussas croustillants, bouchons bien chauds, un verre d’arrangé à la vanille en digestif. À table, ça discute Grand Anse, marchés de Saint‑Paul, cirque de Cilaos ; les odeurs et les saveurs font remonter les souvenirs plus vite qu’un album photo. Cette « mise en place » simple transforme une soirée banale en soirée « péi » — exactement ce que voulait Aylan.
Que trouve-t-on sur place ?
Un socle d’authenticité : rhums, punchs, épicerie, surgelés
Le magasin affiche une offre claire et rassurante : Rhums et punchs (traditionnel, arrangé, vieux), épicerie salée (épices, sauces, achards, pâtes à piment), surgelés (bouchons, etc.), et boissons (dont bières Dodo). Ce n’est pas un fourre‑tout « exotique » ; c’est l’assemblage logique d’une cuisine réunionnaise du quotidien. La page « Nos produits » permet d’ailleurs d’explorer les catégories en amont si l’on aime préparer sa visite.
Exemple de panier « retour au pays » pour 4 personnes
- Samoussas réunionnais assortis (fromage, poulet, boucané ti‑jacques) : faciles à passer au four, croustillants, parfaits pour lancer la soirée.
- Bouchons (porc, porc/combava ou poulet) à réchauffer à la vapeur : le « goût cantine du midi » qu’on a tous connu sur l’île.
- Une bière Dodo par personne pour l’ambiance, et une bouteille de rhum arrangé pour le digestif (vanille, ou mangue/gingembre pour les palais qui aiment le soleil en bouche).
Le rôle des samoussas réunionnais : petits triangles, grands souvenirs
On sous‑estime leur pouvoir. Les samoussas réunionnais sont la poignée de main de l’apéro : croustillants, parfumés, avec ce twist local (fromage façon « péi », boucané, piment tenu) qui rappelle instantanément les snacks, les marchés et les cuisines familiales. Ils existent en plusieurs farces, et leur « côté minute » convient aux colocations comme aux familles pressées. Même pour ceux qui découvrent l’île, c’est le point d’entrée idéal : simple à servir, facile à aimer, rapidement mémorable. (La culture locale a d’ailleurs fait du samoussa au fromage un classique à part entière.)
Y aller simplement : adresse, horaires et astuces « centre‑ville »
Adresse exacte : LE REUNIONNAIS – 22 rue Pasteur, 25000 Besançon. C’est en plein centre‑ville : depuis les rues commerçantes, on y arrive à pied en quelques minutes. Sur le site, un bouton « Me rendre au magasin » pointe vers la carte, pratique si vous venez pour la première fois.
Horaires (à vérifier le jour J) : mardi à vendredi 10 h–19 h (jeudi 13 h–19 h), samedi 10 h–12 h et 14 h–19 h, fermé lundi et dimanche. Astuce : privilégiez la fin de matinée ou l’après‑midi hors pointe pour prendre le temps de discuter recettes et associations.
Un lieu pensé pour le conseil. Le site et les contenus éditoriaux insistent sur l’esprit de l’enseigne : faire découvrir la culture créole à Besançon et proposer des produits bios/direct île quand c’est possible. L’ambiance « univers de Sébastien » n’est pas un slogan : on vous écoute, on vous oriente, on vous fait gagner du temps — exactement ce que cherche un étudiant ou un jeune actif avec un budget réaliste.
Conseils rapides : bien acheter, bien conserver, bien partager
1) Dites « comme à la maison »
Expliquez en deux mots ce que vous mangiez sur l’île (ex. : « bouchons porc/combava », « pâte piment plus citronnée », « samoussas fromage »). On vous proposera le bon trio apéro + un rhum/punch pour « poser » la soirée. L’intérêt d’une épicerie réunionnaise locale : ce tri se fait avec vous, en vrai, pas à l’aveugle.
2) Commencez simple, ajoutez du « péi »
Première visite ? Partez sur des samoussas réunionnais + bouchons + une Dodo. À la deuxième, ajoutez un rhum arrangé vanille (digestif) ou un punch agrumes (apéritif). Ce pas‑à‑pas évite les erreurs de panier et rassure le porte‑monnaie.
3) Évitez les faux amis
Tous les « arrangés » ne se valent pas, et toutes les sauces « piquantes » non plus. Le fait d’acheter dans une épicerie réunionnaise tenue par des passionnés réduit le risque d’un produit trop sucré, trop « francisé » ou mal pensé pour vos recettes. Les avis clients publiés sur le site confirment la cohérence de l’offre (qualité des produits, accueil, conseils).
4) Pour un dîner « péi » simple : mode d’emploi 30 minutes
- Four chaud : glissez une plaque de samoussas réunionnais ; lancez en parallèle la vapeur pour les bouchons.
- Dressage minute : coupelles de pâte à piment, quartiers de citron vert.
- Boisson : Dodo pour l’apéro, eau très fraîche à table, petit verre d’arrangé après le repas.
- Ambiance : une playlist séga/maloya, et c’est parti pour voyager sans avion.
Besoin d’idées recettes ? Le site partage des contenus dédiés à la cuisine créole et renvoie vers le catalogue pour retrouver facilement les produits.
Gardez La Réunion près de soi, à deux pas de la rue Pasteur !
On peut vivre loin de l’île et rester proche de sa cuisine. Pour Aylan, l’équation est simple : une épicerie réunionnaise en centre‑ville, une équipe qui écoute, et des produits qui « goûtent vrai ». Les samoussas réunionnais pour l’apéro, les bouchons pour la convivialité, un arrangé ou un punch pour clore — et l’Île Intense revient à table, sans détour. Si vous êtes réunionnais·e de cœur ou de naissance, ou si vous découvrez la cuisine créole, l’adresse est facile à retenir : LE REUNIONNAIS – 22 rue Pasteur, Besançon. Passez, discutez, goûtez : ici, on ne vend pas qu’un produit, on partage une culture.